Services municipaux: Service population
Horaires :
Horaires d’ouverture au public :
- Du lundi au vendredi : de 8h30 à 12h15 et de 13h30 à 17h30
- Samedi : de 9h00 à 12h.
La déclaration de décès doit être effectuée à la mairie du lieu de décès. Elle est obligatoire et doit être faite dans les 24 heures (les dimanches et jours fériés ne sont pas pris en compte). Avant d’effectuer la déclaration de décès, vous devez d’abord faire constater le décès par un médecin. Le médecin délivre un certificat médical de décès, sauf en cas de mort violente (accident, suicide…).
Toute personne majeure peut déclarer un décès. Si vous le souhaitez, vous pouvez faire appel à une entreprise de pompes funèbres qui pourra se charger des démarches. Le déclarant devra être en mesure de fournir des renseignements exacts et complets sur l’état civil et la situation familiale et professionnelle du défunt.
À la mairie de Guipavas.
La déclaration en mairie est gratuite, immédiate et sans rendez-vous.
À la suite de cette déclaration, la mairie établit un acte de décès.
Les cimetières sont ouverts au public tous les jours :
Chaque cimetière est équipé de portillons automatiques qui assurent l’ouverture et la fermeture aux horaires indiqués.
Vous avez déménagé ou changé de coordonnées ? Merci de le signaler au service population pour assurer le bon suivi de votre concession.
L’entretien des concessions est par ailleurs de la responsabilité des familles. Cet entretien doit être réalisé en utilisant des produits respectant l’environnement.
Vigilance renforcée : des vols de fleurs et d’objets ont été commis dans les cimetières. La mairie rappelle que ceci constitue un délit susceptible d’une plainte à la gendarmerie. Ces lieux de mémoire nécessitent le respect de chacun.
Télécharger le règlement des cimetières de Guipavas
Télécharger les Tarifs 2025 des concessions de Guipavas
AR_2025_375 – Reprise concessions funéraires échues
Arrêté modificatif – Reprise des concessions funéraires en état d'abandon
Délibération – Reprise des concessions funéraires en état d'abandon
Annexe délibération – Reprise des concessions funéraires en état d'abandon
Arrêté reprises des concessions funéraires en état d'abandon
La situation diffère selon que le demandeur est originaire du Maghreb (Algérie, Maroc, Tunisie), d’Afrique subsaharienne (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Centrafrique, Congo Brazzaville, Côte-d’Ivoire, Gabon, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Togo) ou d’un autre pays.
Oui, l’époux(se) et les enfants de moins de 18 ans de l’étranger, déjà en France, peuvent bénéficier d’un regroupement familial sur place.
L’époux(se) doit habiter en France en situation régulière, avec une carte de séjour d‘1 an minimum ou une carte de séjour pluriannuelle.
L’étranger demandeur doit vivre en France, en situation régulière, depuis 18 mois au moins (12 mois pour les Algériens). L’étranger demandeur doit avoir une carte de séjour d’1 an minimum (ou le récépissé de la demande de renouvellement de son titre de séjour). C’est notamment le cas lorsque l’étranger séjourne en France sous le statut de salarié, travailleur temporaire, d’étudiant ou de visiteur.
Les autres conditions à remplir par le demandeur et les bénéficiaires du regroupement sont les mêmes que pour la procédure normale.
En revanche, le bénéfice du droit au regroupement familial étant accordé sans le recours à la procédure d’introduction, l’époux(se) et les enfants n’ont pas à justifier d’un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS/TS) obtenu auprès du consulat de France à l’étranger.
Dans le cas où le regroupement familial est accordé, l’époux et les enfants majeurs originaires du Maghreb ou d’Afrique subsaharienne reçoivent une carte de résident valable 10 ans si l’étranger à l’origine du regroupement a un tel titre. Sinon, ils reçoivent une carte de séjour d’1 an.
Les enfants mineurs reçoivent quant à eux un document de circulation pour étranger mineur (DCEM).
Oui, l’époux(se) et les enfants de moins de 18 ans de l’étranger, déjà en France, peuvent bénéficier d’un regroupement familial sur place.
L’époux(se) doit habiter en France en situation régulière, avec une carte de séjour d’1 an minimum ou une carte de séjour pluriannuelle.
L’étranger demandeur doit vivre en France en situation régulière depuis 18 mois au moins. L’étranger demandeur doit avoir une carte de séjour d’1 an minimum (ou le récépissé de la demande de renouvellement de son titre de séjour). C’est notamment le cas lorsque l’époux(se) bénéficiaire séjourne en France sous le statut de salarié, travailleur temporaire, d’étudiant ou de visiteur.
Les autres conditions à remplir par le demandeur et les bénéficiaires du regroupement sont les mêmes que pour la procédure normale.
En revanche, le bénéfice du droit au regroupement familial étant accordé sans le recours à la procédure d’introduction, l’époux(se) et les enfants n’ont pas à justifier d’un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS/TS) obtenu auprès du consulat de France à l’étranger.
Si le regroupement familial est accordé, l’époux bénéficiaire et les enfants majeurs reçoivent une carte de séjour temporaire vie privée et familiale valable 1 an.
Les enfants mineurs reçoivent quant à eux un document de circulation pour étranger mineur.