Services municipaux: Service population
Horaires :
Horaires d’ouverture au public :
- Du lundi au vendredi : de 8h30 à 12h15 et de 13h30 à 17h30
- Samedi : de 9h00 à 12h.
La déclaration de décès doit être effectuée à la mairie du lieu de décès. Elle est obligatoire et doit être faite dans les 24 heures (les dimanches et jours fériés ne sont pas pris en compte). Avant d’effectuer la déclaration de décès, vous devez d’abord faire constater le décès par un médecin. Le médecin délivre un certificat médical de décès, sauf en cas de mort violente (accident, suicide…).
Toute personne majeure peut déclarer un décès. Si vous le souhaitez, vous pouvez faire appel à une entreprise de pompes funèbres qui pourra se charger des démarches. Le déclarant devra être en mesure de fournir des renseignements exacts et complets sur l’état civil et la situation familiale et professionnelle du défunt.
À la mairie de Guipavas.
La déclaration en mairie est gratuite, immédiate et sans rendez-vous.
À la suite de cette déclaration, la mairie établit un acte de décès.
Les cimetières sont ouverts au public tous les jours :
Chaque cimetière est équipé de portillons automatiques qui assurent l’ouverture et la fermeture aux horaires indiqués.
Vous avez déménagé ou changé de coordonnées ? Merci de le signaler au service population pour assurer le bon suivi de votre concession.
L’entretien des concessions est par ailleurs de la responsabilité des familles. Cet entretien doit être réalisé en utilisant des produits respectant l’environnement.
Vigilance renforcée : des vols de fleurs et d’objets ont été commis dans les cimetières. La mairie rappelle que ceci constitue un délit susceptible d’une plainte à la gendarmerie. Ces lieux de mémoire nécessitent le respect de chacun.
Télécharger le règlement des cimetières de Guipavas
Télécharger les Tarifs 2025 des concessions de Guipavas
AR_2025_375 – Reprise concessions funéraires échues
Arrêté modificatif – Reprise des concessions funéraires en état d'abandon
Délibération – Reprise des concessions funéraires en état d'abandon
Annexe délibération – Reprise des concessions funéraires en état d'abandon
Arrêté reprises des concessions funéraires en état d'abandon
Quel est le taux d’alcool maximum autorisé pour conduire ? Quelle est la règle en cas de permis probatoire, de conduite accompagnée ou de conduite avec un ? Comment se passe le dépistage d’alcoolémie ? Quelles sont les sanctions si vous dépassez le taux d’alcool maximum autorisé ? Nous vous indiquons les principales règles à connaître sur l’alcool au volant.
Vous avez un permis de conduire probatoire lorsque vous obtenez le permis :
pour la 1re fois,
ou après une invalidation ou une annulation judiciaire.
Si vous avez un permis probatoire, il est interdit de conduire avec un taux d’alcool dans le sang supérieur ou égal à 0,2 g/l de sang.
Cela revient à 0,10 mg d’alcool par litre d’air expiré.
Si vous préparez le permis en conduite accompagnée (conduite anticipée, encadrée ou supervisée), il est interdit de conduire avec un taux d’alcool dans le sang supérieur ou égal à 0,2 g/l de sang.
Cela revient à 0,10 mg d’alcool par litre d’air expiré.
Si votre droit à conduire est limité aux véhicules équipés d’un éthylotest anti-démarrage (EAD), il est interdit de conduire avec un taux d’alcool dans le sang supérieur ou égal à 0,2 g/l de sang.
Cela revient à 0,10 mg d’alcool par litre d’air expiré.
Il est interdit de conduire avec un taux d’alcool dans le sang supérieur ou égal à 0,5 g/l de sang.
Cela revient à 0,25 mg d’alcool par litre d’air expiré.
Les forces de l’ordre procèdent à une vérification d’alcoolémie de manière obligatoire, facultative ou préventive.
La vérification peut être précédée d’un dépistage d’alcoolémie.
La vérification d’alcoolémie est obligatoire si vous êtes dans l’une des situations suivantes :
Vous êtes en état d’ivresse
Vous refusez le dépistage d’alcoolémie
Votre état de santé, attesté par un médecin, ne vous permet pas de subir un dépistage par éthylotest
Vous êtes impliqué dans un accident de la circulation ayant occasionné un dommage corporel
Vous êtes l’auteur présumé d’une infraction au code de la route punie de la peine complémentaire de suspension du permis de conduire
La vérification d’alcoolémie est facultative si vous êtes dans l’une des situations suivantes :
Vous êtes impliqué dans un accident de la circulation ayant uniquement occasionné des dommages matériels
Vous êtes l’auteur présumé d’une infraction au code de la route qui n’est pas punie de la peine complémentaire de suspension du permis de conduire
L’alcoolémie peut être vérifiée de manière aléatoire, en dehors de toute infraction ou accident.
Savoir quelles sont les forces de l’ordre autorisées à procéder au épreuves de dépistage et aux vérifications d’alcoolémie
Un officier de police judiciaire (OPJ) ou un agent de police judiciaire (APJ) est autorisé à procéder aux épreuves de dépistage et aux vérifications d’alcoolémie.
Un agent de police judiciaire adjoint, sur l’ordre et sous la responsabilité d’un officier de police judiciaire, est autorisé à procéder aux épreuves de dépistage d’alcoolémie.
Les forces de l’ordre vous fournissent un éthylotest.
L’éthylotest sert uniquement à dépister un état d’alcoolémie.
Si le dépistage est positif, les forces de l’ordre font vérifier votre taux précis d’alcoolémie.
La vérification du taux d’alcool se fait avec un éthylomètre ou par prise de sang et examens médicaux.
Le résultat vous est notifié.
Les forces de l’ordre doivent vous demander si vous souhaitez un 2nd contrôle.
En cas de réponse positive, ce contrôle est effectué immédiatement et le résultat vous est communiqué.
Savoir si le conducteur a la droit de choisir le mode de vérification du taux d’alcool
Le conducteur ne choisit pas le mode de vérification du taux d’alcool.
Le recours à une prise de sang ne se fait qu’en cas d’impossibilité avérée d’utiliser un éthylomètre.
Connaître les cas où les forces de l’ordre retiennent votre permis de conduire
Les forces de l’ordre retiennent votre permis de conduire à titre conservatoire si vous êtes dans l’un des cas suivants :
Le dépistage d’alcoolémie et votre comportement laissent présumer que votre taux d’alcool est égal ou supérieur à 0,8 g/l de sang
La vérification avec un éthylomètre a établi que votre taux d’alcool est égal ou supérieur à 0,8 g/l de sang
Vous conduisez en état d’ivresse manifeste
Vous refusez le dépistage et la vérification d’alcoolémie
Pendant la durée de la rétention, votre véhicule peut être immobilisé.
Conduire avec un taux d’alcool dans le sang égal ou supérieur à 0,2g/l et inférieur à 0,8 g/l est une contravention.
Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à .
En général, il s’agit d’une amende forfaitaire de .
Votre véhicule peut être .
6 points sont retirés du permis de conduire.
Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :
Suspension du permis de conduire pendant 3 ans maximum
La suspension peut être limitée à la conduite en dehors de l’activité professionnelle.
Obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 3 ans maximum.
Conduire avec un taux d’alcool égal ou supérieur à 0,8 g/l de sang est un délit.
Cela revient à 0,40 mg d’alcool par litre d’air expiré.
Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à 4 500 € et par une peine de 2 ans de prison maximum.
Votre véhicule peut être et sur autorisation du préfet ou du procureur de la République.
6 points sont retirés du permis de conduire.
Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :
Suspension du permis pour une durée de 3 ans maximum (sans aménagement possible en dehors de l’activité professionnelle)
Annulation du permis et interdiction de demander un nouveau permis pendant 3 ans maximum
Peine de jours-amende
Interdiction de conduire certains véhicules, y compris les véhicules sans permis, pour une durée de 5 ans maximum
Obligation d’accomplir, à vos frais, un stage de sensibilisation à la sécurité routière
Obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 5 ans maximum
Connaître les sanctions en cas de récidive
Commis en récidive, le délit de conduite en état d’ivresse manifeste ou avec un taux d’alcool de 0,8 g/l de sang ou plus est sanctionné par l’annulation du permis de conduire.
Si vous obtenez un nouveau permis moins de 3 ans après l’annulation, vous avez l’obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 3 ans maximum.
Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :
obligatoire de votre véhicule, sauf décision motivée du juge
Immobilisation de votre véhicule pendant 1 an maximum
Connaître les sanctions si vous êtes responsable d’un accident
En cas d’accident, la conduite en état d’ivresse manifeste ou avec un taux d’alcool de 0,8 g/l de sang ou plus est une circonstance aggravante.
Lorsqu’il y a 2 circonstances aggravantes ou plus (par exemple, usage de drogues + alcool), vous risquez :
Jusqu’à 7 ans de prison et 100 000 € d’amende si vous êtes responsable d’un accident corporel (blessures).
Jusqu’à 10 ans de prison et 150 000 € d’amende si vous êtes responsable d’un accident mortel.
Conduire avec un taux d’alcool dans le sang égal ou supérieur à 0,2g/l et inférieur à 0,8 g/l est une contravention.
Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à .
En général, il s’agit d’une amende forfaitaire de .
Votre véhicule peut être .
6 points sont retirés du permis de conduire.
Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :
Suspension du permis de conduire pendant 3 ans maximum
La suspension peut être limitée à la conduite en dehors de l’activité professionnelle.
Obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 3 ans maximum.
Conduire avec un taux d’alcool égal ou supérieur à 0,8 g/l de sang est un délit.
Cela revient à 0,40 mg d’alcool par litre d’air expiré.
Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à 4 500 € et par une peine de 2 ans de prison maximum.
Votre véhicule peut être et sur autorisation du préfet ou du procureur de la République.
6 points sont retirés du permis de conduire.
Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :
Suspension du permis pour une durée de 3 ans maximum (sans aménagement possible en dehors de l’activité professionnelle)
Annulation du permis et interdiction de demander un nouveau permis pendant 3 ans maximum
Peine de jours-amende
Interdiction de conduire certains véhicules, y compris les véhicules sans permis, pour une durée de 5 ans maximum
Obligation d’accomplir, à vos frais, un stage de sensibilisation à la sécurité routière
Obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 5 ans maximum
Connaître les sanctions en cas de récidive
Commis en récidive, le délit de conduite en état d’ivresse manifeste ou avec un taux d’alcool de 0,8 g/l de sang ou plus est sanctionné par l’annulation du permis de conduire.
Si vous obtenez un nouveau permis moins de 3 ans après l’annulation, vous avez l’obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 3 ans maximum.
Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :
obligatoire de votre véhicule, sauf décision motivée du juge
Immobilisation de votre véhicule pendant 1 an maximum
Connaître les sanctions si vous êtes responsable d’un accident
En cas d’accident, la conduite en état d’ivresse manifeste ou avec un taux d’alcool de 0,8 g/l de sang ou plus est une circonstance aggravante.
Lorsqu’il y a 2 circonstances aggravantes ou plus (par exemple, usage de drogues + alcool), vous risquez :
Jusqu’à 7 ans de prison et 100 000 € d’amende si vous êtes responsable d’un accident corporel (blessures).
Jusqu’à 10 ans de prison et 150 000 € d’amende si vous êtes responsable d’un accident mortel.
Conduire avec un taux d’alcool dans le sang égal ou supérieur à 0,2g/l et inférieur à 0,8 g/l est une contravention.
Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à .
En général, il s’agit d’une amende forfaitaire de .
Votre véhicule peut être .
6 points sont retirés du permis de conduire.
Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :
Suspension du permis de conduire pendant 3 ans maximum
La suspension peut être limitée à la conduite en dehors de l’activité professionnelle.
Obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 3 ans maximum.
Conduire avec un taux d’alcool égal ou supérieur à 0,8 g/l de sang est un délit.
Cela revient à 0,40 mg d’alcool par litre d’air expiré.
Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à 4 500 € et par une peine de 2 ans de prison maximum.
Votre véhicule peut être et sur autorisation du préfet ou du procureur de la République.
6 points sont retirés du permis de conduire.
Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :
Suspension du permis pour une durée de 3 ans maximum (sans aménagement possible en dehors de l’activité professionnelle)
Annulation du permis et interdiction de demander un nouveau permis pendant 3 ans maximum
Peine de jours-amende
Interdiction de conduire certains véhicules, y compris les véhicules sans permis, pour une durée de 5 ans maximum
Obligation d’accomplir, à vos frais, un stage de sensibilisation à la sécurité routière
Obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 5 ans maximum
Connaître les sanctions en cas de récidive
Commis en récidive, le délit de conduite en état d’ivresse manifeste ou avec un taux d’alcool de 0,8 g/l de sang ou plus est sanctionné par l’annulation du permis de conduire.
Si vous obtenez un nouveau permis moins de 3 ans après l’annulation, vous avez l’obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 3 ans maximum.
Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :
obligatoire de votre véhicule, sauf décision motivée du juge
Immobilisation de votre véhicule pendant 1 an maximum
Connaître les sanctions si vous êtes responsable d’un accident
En cas d’accident, la conduite en état d’ivresse manifeste ou avec un taux d’alcool de 0,8 g/l de sang ou plus est une circonstance aggravante.
Lorsqu’il y a 2 circonstances aggravantes ou plus (par exemple, usage de drogues + alcool), vous risquez :
Jusqu’à 7 ans de prison et 100 000 € d’amende si vous êtes responsable d’un accident corporel (blessures).
Jusqu’à 10 ans de prison et 150 000 € d’amende si vous êtes responsable d’un accident mortel.
Conduire avec un taux d’alcool dans le sang égal ou supérieur à 0,5 g/l et inférieur à 0,8 g/l est une contravention.
Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à .
En général, il s’agit d’une amende forfaitaire de .
Votre véhicule peut être .
6 points sont retirés du permis de conduire.
Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :
Suspension du permis de conduire pendant 3 ans maximum
La suspension peut être limitée à la conduite en dehors de l’activité professionnelle.
Obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 3 ans maximum.
Conduire avec un taux d’alcool égal ou supérieur à 0,8 g/l de sang est un délit.
Cela revient à 0,40 mg d’alcool par litre d’air expiré.
Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à 4 500 € et par une peine de 2 ans de prison maximum.
Votre véhicule peut être et sur autorisation du préfet ou du procureur de la République.
6 points sont retirés du permis de conduire.
Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :
Suspension du permis pour une durée de 3 ans maximum (sans aménagement possible en dehors de l’activité professionnelle)
Annulation du permis et interdiction de demander un nouveau permis pendant 3 ans maximum
Peine de jours-amende
Interdiction de conduire certains véhicules, y compris les véhicules sans permis, pour une durée de 5 ans maximum
Obligation d’accomplir, à vos frais, un stage de sensibilisation à la sécurité routière
Obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 5 ans maximum
Connaître les sanctions en cas de récidive
Commis en récidive, le délit de conduite en état d’ivresse manifeste ou avec un taux d’alcool de 0,8 g/l de sang ou plus est sanctionné par l’annulation du permis de conduire.
Si vous obtenez un nouveau permis moins de 3 ans après l’annulation, vous avez l’obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 3 ans maximum.
Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :
obligatoire de votre véhicule, sauf décision motivée du juge
Immobilisation de votre véhicule pendant 1 an maximum
Connaître les sanctions si vous êtes responsable d’un accident
En cas d’accident, la conduite en état d’ivresse manifeste ou avec un taux d’alcool de 0,8 g/l de sang ou plus est une circonstance aggravante.
Lorsqu’il y a 2 circonstances aggravantes ou plus (par exemple, usage de drogues + alcool), vous risquez :
Jusqu’à 7 ans de prison et 100 000 € d’amende si vous êtes responsable d’un accident corporel (blessures).
Jusqu’à 10 ans de prison et 150 000 € d’amende si vous êtes responsable d’un accident mortel.
Refuser de se soumette aux vérifications du taux d’alcool est est un délit.
Vous êtes sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à 4 500 € et par une peine de 2 ans de prison maximum.
6 points sont retirés du permis de conduire.
Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :
Suspension du permis pour une durée de 3 ans maximum (sans aménagement possible en dehors de l’activité professionnelle)
Annulation du permis et interdiction de demander un nouveau permis pendant 3 ans maximum
Peine de jours-amende
Interdiction de conduire certains véhicules, y compris les véhicules sans permis, pour une durée de 5 ans maximum
Obligation d’accomplir, à vos frais, un stage de sensibilisation à la sécurité routière
Obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 5 ans maximum
Connaître les sanctions en cas de récidive
Commis en récidive, le refus de se soumettre aux vérifications d’alcoolémie est sanctionné par l’annulation du permis de conduire.
Si vous obtenez un nouveau permis moins de 3 ans après l’annulation, vous avez l’obligation de conduire avec un éthylotest antidémarrage (EAD) pendant 3 ans maximum.
Vous risquez également les peines complémentaires suivantes :
obligatoire de votre véhicule, sauf décision motivée du juge
Immobilisation de votre véhicule pendant 1 an maximum
En cas d’accident sous l’effet de l’alcool, votre compagnie d’assurance vous appliquera des sanctions (augmentation des cotisations, résiliation du contrat…).